samedi 6 septembre 2014

Jour 42 / Dix-sept

Je ne sais pas s'il y a vraiment une fin à cela. Pourrais-je jamais cesser de t'écrire ? Pourrais-je jamais cesser de t'aimer ?
Quoi qu'il arrive, tu nous accompagnes sur nos pas. Quoi qu'il arrive, des morceaux de toi restent épars à la maison, parmi nous. Certains sont tranchants, et on ose à peine les regarder. D'autres scintillent, appellent nos sourires et nos rires. Quoi qu'il arrive, nous ne t'oublierons pas.

Quoi qu'il arrive, tu resteras mon papa et tu me manqueras… Mais, c'est pour cela que, tous, quoi qu'il arrive, nous vivrons et aimerons, encore, encore, toujours… sans toi, pour toi…