Je ne sais pas s'il y a vraiment une
fin à cela. Pourrais-je jamais cesser de t'écrire ?
Pourrais-je jamais cesser de t'aimer ?
Quoi qu'il arrive, tu nous
accompagnes sur nos pas. Quoi qu'il arrive, des morceaux de toi
restent épars à la maison, parmi nous. Certains sont tranchants, et
on ose à peine les regarder. D'autres scintillent, appellent nos
sourires et nos rires. Quoi qu'il arrive, nous ne t'oublierons pas.
Quoi qu'il arrive, tu resteras mon
papa et tu me manqueras… Mais, c'est pour cela que, tous, quoi
qu'il arrive, nous vivrons et aimerons, encore, encore, toujours…
sans toi, pour toi…